Après un DEA de linguistique informatique à Paris 7, Marianne Dabbadie a travaillé pendant deux ans à LexiQuest tout d'abord comme ingénieur qualité puis responsable de l'assurance qualité linguistique.
Après son départ de LexiQuest à la fin de l'année 2001, elle a créé LingPro, éditeur de logiciels TAL et mis en place un partenariat technologique avec Memodata, pour la recherche et la commercialisation de leurs produits linguistiques. Parallèlement elle a entamé une recherche en Doctorat auprès de l'IDIST / CERSATES (Université de Lille 3), en Sciences de l'Information et de la Communication.
Depuis janvier 2003, LingPro participe, avec l'université de Lille 3, à la coordination scientifique de la campagne CESTA (Campagne d'Evaluation des Systèmes de Traduction Automatique) dans le cadre des campagnes EVALDA ainsi qu'à la campagne CESART (Campagne d'Evaluation des Systèmes d'Acquisition de Ressources Terminologiques).
Fondatrice de l'association EVALING (Association pour l'évaluation des logiciels issus du traitement informatique de la langue), Marianne Dabbadie participe en tant que conférencière à diverses rencontres (KM Forum, ICC 2005, conférence ISKO, conférence LREC).
Durant l'été 2003, LingPro a rejoint l'équipe de i-KM, pour constituer l'alliance des méthodologies du KM et de la technologie et du savoir-faire du traitement automatique des langues. i-KM travaille sur des problématiques d'intelligence territoriale et de réseaux ainsi que sur les usages des technologies. D'autre part, i-KM commercialise et réalise des lexiques spécifiques pour Alexandria, dictionnaire multilingues pour sites web. Alexandria, innovation unique au monde, porte sur 22 langues interactives et inter opérables entre elles.
Depuis le mois d'avril 2004, Marianne Dabbadie assume la responsabilité de la rubrique Evaluation des technologies pour Veille Magazine.
Depuis janvier 2005, Marianne Dabbadie est devenue directrice innovation de i-KM. Par ailleurs, elle enseigne la veille, la gestion de projets et les technologies de la langue aux étudiants de mastère de l'IDIST (université de Lille 3). Dans le cadre de i-KM elle dirige des projets ayant pour but la mise en place des protocoles d'évaluation pour plate-formes de veille et moteurs de recherche, d'une part et la mise en place de réseaux de veille dans un cadre d'intelligence économique ou territoriale, d'autre part.